Maintenant je pense qu'il serait sage de notre part d'inventer un nouveau mot, un qui représente plus précisément l'intensité d'une histoire féroce, très belle et douloureuse magistralement rédigés sur 354 pages, "livre" ne suffit plus.
Son agonie a commencé il y a bien longtemps. Bien avant que les douleurs physiques ne deviennent son quotidien, les douleurs de son âme l'avaient envahie. Avec sa perte, elle s'était perdue elle-même, et elle n'a trouvé en moi, ni en personne, les raisons de faire la paix avec la vie ou la mort.